Un petit article tout plein de mélancolie, en collaboration avec ma moitié qui adore encore plus que moi cette oeuvre ,à la mémoire de Robert Jordan, mort dimanche 16 septembre d'une maladie orpheline, l'amylose, dont il était atteint depuis 2006.
Il est parti de la manière la plus symbolique et la plus déchirante qui soit, certainement, pour un auteur : à son bureau, comme il travaillait à l'achèvement du douzième et ultime volume de sa saga The Wheel of Time.
Je m'abstiendrai de livrer une ennième rétrospective de son oeuvre, et de sa brillante carrière, nombre de fans sauront le faire avec autrement plus de verve.
A cette heure, je ne sais que me souvenir des premiers passages que j'ai lus (a warm thought for you, Kirsi!), de l'émerveillement, de l'enthousiasme qu'ils ont suscité.
Voilà donc Rand et tout le vaste univers gravitant autour de lui, orphelins.
Pour ma part, je me contenterai de ceci :
Peace favor your sword, and the Light illumine you forever, Master Jordan.